Infos nationales: « Call of Duty », « Zelda », « Astro Bot »… Cinq jeux vidéo à ne pas manquer au Paris Games Week 2024 #France

« Call of Duty », « Zelda », « Astro Bot »… Cinq jeux vidéo à ne pas manquer au Paris Games Week 2024 publié par Le Point – Toute l’info en continu le

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Petit rappel pour les néophytes : Paris Games Week (PGW) est le plus gros salon du jeu vidéo français et un rendez-vous important pour les 38,3 millions de gamers recensés dans l’Hexagone. La France compte désormais 70 % de joueurs dont 52 % se définissant comme réguliers (au moins une fois par semaine), tandis que le secteur génère un chiffre d’affaires de 6,1 milliards d’euros (sources Médiamétrie). Après son record de 317 000 visiteurs en 2019, le PGW a bien souffert de la parenthèse pandémique mais il semble retrouver une jolie vitesse de croisière avec, pour sa 13e édition cette année, un total de 188 000 entrées sur cinq jours, entre le 23 et le 27 octobre.

Sur une surface de 60 000 m2, ces nombreux visiteurs ont joué des coudes entre les stands des plus gros éditeurs actuels – PlayStation, Xbox, Nintendo ou encore Riot Games, Capcom et Ubisoft. C’était donc le lieu idéal pour prendre la température des tendances vidéoludiques en vue pour les fêtes de fin d’année, voire au-delà. Cinq titres ont particulièrement séduit Le Point Pop.

Astro Bot, adorable petit robot !

Alors qu’il voyageait tranquillement dans l’espace, un vaisseau spatial en forme de PlayStation 5 se fait attaquer par un extraterrestre verdâtre. Vous – mignon petit robot rondouillard – êtes alors séparé de vos congénères et allez devoir les retrouver, ainsi que des éléments disséminés de votre vaisseau. Explorez la galaxie en quête de vos compagnons robotiques et débloquez une à une ses planètes (plus d’une cinquantaine) aux challenges innovants et aux environnements variés : repaire de pirates, ville démolie par un robot-gorille géant, palais des 1 001 nuits, canyon gelé, cimetière hanté, etc.

Un jeu de plateforme adapté aux petits comme aux grands (les joueurs complétistes vont s’en donner à cœur joie), bourré de bonnes idées de gameplay, qui fait la part belle à l’univers foisonnant de la PlayStation : c’est un vrai plaisir de retrouver tous les bots inspirés de ces licences doudou et parvenir à reconnaître de quels univers (les initiés parlent de « lores ») ils sont tirés. Beau, original, ingénieux… mais surtout hyperaddictif !

Astro Bot, disponible exclusivement sur PlayStation 5, PEGI 7.

Warhammer 40 000 : Space Marine 2, un must de l’action et véritable exutoire

Si l’acteur adulé Henry Cavill a décidé d’en faire son prochain projet, ça n’est pas pour rien : Warhammer est une licence de l’ancien temps qui a marqué les geeks des années 1980-1990, entre autres avec le jeu stratégique Warhammer 40 000(W40K pour les intimes) et ses batailles dantesques sur de grandes tables chargées de figurines de soldats aux armures imposantes. W40K et ses fameux « Space Marines » restent encore aujourd’hui un élément clé de la culture pop. Après un jeu vidéo Space Marine (2011) peu abouti, la saga est de retour avec… suspense… Space Marine 2 !

Oubliez la déception du premier opus, on a ici affaire à un titre aux graphismes impressionnants, à la mise en scène léchée et au gameplay à la précision millimétrée, avec un mode histoire jouable en solo ou en coopération à trois, à la durée de vie plus que raisonnable pour ce genre de titre (une douzaine d’heures en ligne droite). Aux commandes de votre soldat Ultramarine (personnalisable), vous allez déchiqueter des hordes d’ennemis cauchemardesques à l’aide d’un arsenal impressionnant, fait de fusils d’assaut futuristes, comme de marteaux de guerre ou de tronçonneuses. Que l’on soit fan de la saga ou néophyte, Space Marine 2 est un véritable exutoire, parfait pour les adeptes des jeux à l’action omniprésente et brutale. Un must de beauté graphique et de sauvagerie.

Warhammer 40 000 : Space Marine 2, disponible sur PC, PS5 et Xbox Series, PEGI 18.

The Legend of Zelda : Echoes of Wisdom, la princesse sauve toute seule le monde

Avant, c’était Link – le petit elfe tout vêtu de vert – qui venait éternellement sauver la pauvre princesse Zelda. Mais ça, c’était avant. Nouvelle ère oblige, dans Echoes of Wisdom, Link s’étant fait aspirer par une faille dimensionnelle, c’est la princesse d’Hyrule qui va remonter elle-même ses manches bouffantes pour sauver le monde, aidée d’un pouvoir plutôt utile : l’Echo. Ne brillant pas par ses compétences martiales, Zelda va devoir surmonter divers obstacles en générant des copies d’objets ou monstres croisés. Comment traverser ce précipice ? En créant une dalle flottante, en s’accrochant à un champignon ailé, ou en confectionnant un tas de lits par exemple… les possibilités sont immenses et il va falloir se montrer ingénieux pour avancer.

Si les graphismes sont bien en deçà de ceux des précédents opus Breath of the Wild et Tears of the Kingdom, ils donnent aussi un sentiment de retour aux anciennes années de la saga, celles des opus sur consoles Nintendo, Gameboy ou encore GameCube. Exploration, combats et énigmes contextuelles : les trois branches de la Triforce de tous bons jeux The Legend of Zelda sont bien présentes, tandis que son univers mignon en fait un titre accessible et agréable à parcourir (notre test complet ici).

The Legend of Zelda : Echoes of Wisdom, disponible exclusivement sur Switch, PEGI 7.

Dragon Age : The Veilguard, un must du genre action-RPG

Avertissement : nous n’avons pas encore pu tester l’intégralité de Dragon Age : The Veilguard. On vous en parle tout de même parce que nos premières impressions sont très bonnes, mais aussi parce qu’il s’agit de l’un des jeux les plus plébiscités par le public lors de ce PGW 2024. Suite particulièrement attendue de la mythique saga Dragon Age, cette quatrième itération démarre avec une menace imminente, celle de maléfiques dieux elfiques sur le point de s’échapper du Voile, une prison immatérielle où ils avaient été autrement enfermés. Simple, mais efficace. Grâce à un éditeur de personnages très complet, le joueur peut créer son ou sa Garde du Voile – Rook –, futur leader d’une communauté censée sauver le monde. Durant son épopée, vous évoluez sur de nouveaux territoires (pas besoin d’avoir joué aux précédents opus) et vous vous constituez une équipe de compagnons aux profils variés, pour combattre à vos côtés.

Si les arbres de compétences peuvent paraître un peu chiches pour certains fans de jeux de rôle, cette simplification est contrebalancée par la mise en scène, des combats dynamiques et des relations qui peuvent être encore plus développées que dans les précédents épisodes, créant des liens qui favorisent l’immersion. Les scénaristes du studio Bioware demeurent des cadors dans l’écriture des personnages – qu’ils soient principaux ou secondaires –, c’est indéniable. Mais si The Veilguard se démarque des anciens Dragon Age par son aspect semi-linéaire et son gameplay plus orienté action, les adeptes du genre action-RPG devraient passer un excellent moment (minimum 40 heures annoncées) dans ces contrées inconnues infestées de démons et de dragons. D’ailleurs, nous, on y retourne de ce pas !

Dragon Age : The Veilguard, disponible le 31 octobre sur PC, PS5 et Xbox Series, PEGI 18.

Call of Duty : Black Ops 6, le grand retour d’une saga légendaire

Est-il encore nécessaire de présenter Call of Duty  ? La célèbre saga de tir à la première personne célèbre son 21e opus (pour la série principale) avec ce Black Ops 6, qui a fait sensation lors du PGW 2024. L’histoire, démarrée en 1962 durant la crise de Cuba, se poursuit ici en 1991, alors que le monde célèbre la chute de l’Union soviétique et la fin de la guerre froide. Mais dans l’ombre, un complot aux ramifications mondiales se trame… Dans la campagne d’introduction, on sera amené à enquêter à travers le globe, tour à tour en Russie, au Moyen-Orient, en Europe du Sud, ou encore aux États-Unis. Et au menu pour le mode multijoueurs de ce nouveau CoD : 16 nouvelles cartes au lancement, le retour du mode zombies et le tout nouveau système Omnimovement, qui permet des mouvements rapides omnidirectionnels dans toutes les situations (sprint, glissades, etc.).

Avec ce sixième opus, la série Black Ops retrouve ici un nouveau souffle salvateur, avec des graphismes d’un réalisme saisissant et un gameplay à la fois familier et optimisé. Mention spéciale pour le mode zombies, qui voit ici son aboutissement, un mélange de fun et de tension dont on a du mal à décrocher. Si vous aviez un peu laissé de côté la licence faute de renouvellements notables, ce Black Ops 6 flirte à nouveau avec la douce addiction de cette saga décidément légendaire.


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Call of Duty : Black Ops 6, disponible le 29 octobre sur PC, PS4/PS5 et Xbox One/Series, PEGI 18.

 


« Call of Duty », « Zelda », « Astro Bot »… Cinq jeux vidéo à ne pas manquer au Paris Games Week 2024

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Bibliographie :

Affaire Priore/Le Calendrier de l’Affaire Priore/1965.,Redirection vers l’ouvrage.

La France des Belhoumi.,Références de l’ouvrage.

Souvenirs de police.,Clicker Ici .

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